Chaque nouvelle entreprise connait ce moment critique de la « vallée de la mort » » qui se traduit par la fin de la concrétisation de son projet et son décollage commercial.
50% de nos startups ne traversent pas la Vallée de la mort ! (Tweeter la citation)
En effet, si les jeunes entreprises parviennent relativement facilement à financer les premières étapes de leur développement (prêts d’honneur, bourse French Tech, Love Money, business angels…) bien souvent, ce capital de démarrage n’est pas suffisant pour qu’un nouveau produit ou une nouvelle prestation réalise une percée significative sur le marché, en particulier si celui-ci a une envergure internationale.
Ensuite il reste 2 options : lever des fonds supplémentaires ou faire au plus vite du « smart money ».
Lever à nouveau des fonds (Série A)
Sous condition d’avoir réussi à finaliser son produit, et que la société ait réalisé un très bon démarrage avec les premières ventes, elle peut espérer réussir une nouvelle levée si elle s’y prend à temps. Si le produit n’a pas trouvé ses premiers clients… la levée s’annoncera difficile.
Pour les différents dispositifs disponibles, il faut malheureusement jongler un peu. Les fonds d’investissements offrent très peu de solutions entre 500.000 et 2 millions d’euros quand le crowdfunding peut, s’il s’agit d’une solution grand public, donner une somme entre 500.000 et 1 million d’euros. Si le produit peut intéresser un industriel, la société peut aussi passer par le dispositif du corporate venture sachant qu’une telle relation prendra aussi du temps à se concrétiser.
Le reste de l’article est sur mon blog Linkedin… en cliquant ici
You must be logged in to post a comment.